Publié: 1/12/21 | 12 janvier 2021
Certaines choses ne sont tout simplement pas implicites. Parfois, peu importe exactement combien vous voulez quelque chose, le monde semble conspirer contre vous.
Bien que je crois que vous fassiez votre propre sort, je crois que le monde a une méthode pour dire: «Hé, le timing ne va pas. Vous devez repenser vos plans.
C’était donc avec ma réinstallation au Mexique.
L’année dernière, j’ai composé exactement comment je m’étais organisé pour y relocaliser pour l’hiver.
J’avais besoin d’une pause mentale, je souhaitais économiser de l’argent en louant mon appartement, ainsi que un certain nombre de copains qui y vivaient. Mon objectif était de travailler, de manger des tacos, d’avoir un peu de bulle sociale, ainsi que de passer beaucoup de temps socialement éloigné à la plage.
Mais, grâce à une nouvelle entreprise d’administration qui a refusé de me permettre de sous-louer mon appartement, ces plans se sont flétris. De plus que même si je n’ai pas au-dessus d’avoir quelqu’un en ligne «sous le radar», de nombreuses personnes au Texas exigent un véhicule – ainsi qu’un laissez-passer de parking pour mon immeuble aurait certainement besoin de l’approbation de ma société d’administration immobilière résidentielle ou commerciale.
Ainsi, il n’y aurait pas d’hiver au Mexique pour moi.
Mais j’ai trouvé quelque chose pendant ce processus: le Mexique est génial.
Oui, je comprends que je suis en retard à cette fête. Si tard que les prises nettoient la vaisselle et me demandent où je me serais toute la nuit.
Le Mexique n’est pas des terres inconnues. Nulle part je ne suis allé que «hors des sentiers battus».
Mais même si ce n’était pas ma toute première fois dans le pays – j’avais brièvement touché ses côtes dans le cadre d’une croisière ainsi que lors de la fin de trois jours dans une station sur une méthode de voyage de presse en 2011 – c’était ma toute première fois Vraiment le voir.
Avant ce voyage, je n’ai jamais réfléchi au Mexique. C’est à quelques heures d’Austin, donc j’avais toujours pensé que j’y aller à tout moment. Pourquoi aller au Mexique alors que je pourrais voir la Polynésie française à la place?
Les gens vérifient rarement leur propre arrière-cour. Pour beaucoup, les voyages concernent les longs vols ainsi que des destinations lointaines.
C’était donc pour moi pendant longtemps. Bien que ces dernières années, le Mexique a augmenté plus haut sur ma liste des emplacements pour aller à autant de copains en délire, cela n’a jamais semblé arriver au sommet. Je prévois d’aller, seulement pour être distrait par un article brillant (c’est-à-dire un autre pays).
Oh, exactement comme je le regrette après avoir vu ce qui me manquait!
Le Mexique est magique.
Au cours des six semaines où j’y étais, j’en ai passé près de trois à Tulum (ce qui était terrible), un à Playa del Carmen, cinq jours dans le Yucatán, ainsi que deux semaines à Oaxaca.
Le plan d’origine était de passer quelques semaines à Tulum, puis de relocaliser avec Playa del Carmen, où vivaient certains copains. Nous tapions notre bulle sociale, ainsi que je fais du travail ainsi que de rester debout jusqu’en mars. Cependant, la troisième semaine, j’ai compris que cela n’allait pas arriver. Je détestais Tulum et je n’ai pas vraiment vibré avec Playa. (Voici une longue publication sur les raisons pour lesquelles je détestais Tulum dans la situation que vous l’avez manqué.)
Playa était sympa. Il y avait une belle plage, d’excellents restaurants ainsi que des bars, ainsi que de bonnes affaires de nomades numériques. Je peux me voir revenir en arrière, satisfaire les gens, ainsi que la fête sur la plage. Cependant, à l’ère de Covid, ce n’est pas ce que je souhaitais faire, donc Playa ne ressemblait pas vraiment à l’emplacement pour être le meilleur maintenant.
Entre cela ainsi que la situation de ma maison, j’ai réalisé que mon séjour au Mexique était préoccupant plus tôt que prévu.
Mais que finir avec mon temps de séjour qui était également covide en toute sécurité?
Pendant son séjour à Tulum, un copain ainsi que j’ai emmené un véhicule au Yucatán – qui était comme traverser Shangri-La. Soudain, les routes se sont améliorées. Les masques étaient utilisés partout, il y avait des limites à la taille des groupes, ainsi qu’aux heures de l’entreprise. Ici, il y avait quelque part qui a pris la femelle au sérieux – ainsi que je l’aimais. La région se sentait en sécurité, ainsi que son nombre de situations (seulement quelques lots par semaine dans tout l’État) l’ont montré.
C’était de même la toute première fois parce que j’ai atterri que j’avais vraiment l’impression d’être dans un autre pays, pas un endroit développé pour les touristes qui souhaitaient une version «sûre» du Mexique. J’ai aimé l’architecture espagnole, la cuisine incroyable et diversifiée, et, du programme – aussi cliché qu’elle soit – le peuple. Donc, de nombreuses personnes souhaitaient juste s’arrêter et parler, et j’y ressentais beaucoup d’hospitalité.
À Mérida, nous avons découvert Mezcalería la Fundación, un bar mezcal suggéré par quelques blogueurs, mais il semblait fermé. Sur un coup de tête, j’ai choisi de me promener dans le bloc jusqu’à ce restaurant canin chaud que j’avais vu ainsi que de demander s’ils comprenaient si le bar serait ouvert plus tard.
«La barre a fermé définitivement depuis la pandémie», a-t-elle répondu.
«Crap», dis-je en comptant sur mon ami. “Je suppose que nous irons sur le marché maintenant.”
Le serveur s’est appuyé sur l’autre homme de la boutique et, en espagnol aussi rapidement pour moi, j’ai commencé à parler, ainsi que sur moi. «Cet homme vous emmènera à un emplacement NEArby. C’est extrêmement bon. ”
Nous avons donc respecté un étranger complet dans la rue vers le bar mezcal fermé. Au début, je croyais qu’il y avait eu une mauvaise communication, mais il a plutôt frappé à une porte de plus, un si à peine visible que je l’avais dépassé deux fois. Un gars est sorti, des mots ont été prononcés, ainsi que nous avons dit d’entrer.
“Whoa,” s’exclavai-je. “Nous sommes dans un speakeasy mezcal!” Je rayonnais, comme j’aime les speakeasies ainsi que les élégants bars à boisson mélangée.
“Ohh, ce n’est pas le speakeasy”, a déclaré le barman. «Pour cela, respectez-moi.»
Il se dirigea vers l’extrémité du bar, puis ouvrit la bibliothèque dans un autre bar. Un bar dans un bar!
“Quel est le nom de ce bar?” J’ai demandé.
“Nous n’avons pas de nom”, a déclaré l’hôtesse.
«Comment les gens découvrent-ils cet endroit?»
«Vous devez avoir notre numéro. Il est partagé par le bouche à oreille.
Après quelques verres dans le bar-tour, nous avons satisfait au propriétaire, Roberto. Il a utilisé pour travailler dans le marketing, mais s’est épuisé et a commencé une marque mezcal. La barre dans laquelle nous étions, Acervo, a ouvert un an en arrière, cependant, a été maintenue relativement secrète. Le speakeasy, qui n’a pas de nom, de médias sociaux ou de site a cependant un magnifique jardin extérieur, a été le mieux commencé avant la pandémie.1
En entendant que nous allions à Oaxaca, il m’a fourni le nombre de son ami. “Il vous enseignera tous sur Mezcal.”
Puis dans la nuit où nous sommes allés; La musique ainsi que la danse remplie de rues ainsi que les places.
Même dans le contexte de la pandémie, le Yucatán, ainsi que surtout sa capitale, Mérida, adhérant à la santé publique et aux règles de bien-être, a montré que vous pourriez équilibrer la vie aussi bien que confortable et toujours que la situation compte la situation. (Certes, cela est aidé par leur capacité à pouvoir faire à l’extérieur et espacé.)
Mais, même si j’aimais Mérida, c’est Oaxaca qui m’a vraiment fait évanouir.
Vous êtes-vous déjà présenté quelque part aussi bien qu’avant de le comprendre, quelque chose dans l’air vous dit simplement que cet endroit est le meilleur pour vous? Que c’est ce que vous avez jamais souhaité aussi bien que vous allez être comme pour toujours?
C’était Oaxaca pour moi. La nourriture, le mezcal, l’architecture, ainsi que (bien sûr) les gens étaient incroyables. La ville est un mélange de bâtiments contemporains peints dans des couleurs vives, des églises coloniales espagnoles historiques, des rues pavées, ainsi que de grandes affaires de parcs.
Au cours de la dernière décennie, alors que Mezcal a fini par être extrêmement populaire, Oaxaca a également fini par être la plaque tournante de tout ce qui mezcal, les touristes atteignant des chiffres record avant Covid. Et, avec Mérida ainsi que Mexico, il est pensé de l’un des centres gastronomiques du Mexique.
Mes copains d’expatriés ainsi que j’ai mangé et ont bu notre méthode avec la ville. Nous avons trouvé le Hamburguesa, un hamburger de la rue Oaxacan qui contient du bœuf, du jambon, des hot-dogs, deux types de fromage, des ananas, des tomates, ainsi que de la laitue, le tout dans un chignon grillé (c’est aussi savoureux que malsain); mangé de grandes affaires de moles, de tacos, ainsi que du fromage oaxacan; ainsi que sont allés dans les montagnes pour voir des ruines et découvrir exactement comment Mezcal a été produit. Et, bien sûr, nous avons satisfait le copain de Roberto, qui nous a certainement fourni une dégustation de mezcal académique sur le toit de son bar (et qui a aidé mon copain à découvrir sa maison quand elle a choisi de rester à Oaxaca pour l’hiver).
***
J’ai été étonné par combien j’aimais le Mexique. Bien sûr, il a des problèmes: de nombreuses villes sont des zones interdites depuis des cartels, la corruption est monnaie courante, il y a beaucoup de violence ainsi que de la pauvreté, ainsi que de fournir à ses habitants aucun soutien aux conditions météorologiques de la pandémie. “Vous êtes seul”, a déclaré le gouvernement.
Et il y a beaucoup de choses que j’en ai encore besoin de découvrir sur le pays. Je n’en ai vu qu’un petit ruban avec des lunettes teintées de mezcal. Il y a beaucoup plus à voir ainsi que beaucoup plus de la culture, des gens, ainsi que de la vie que j’avais besoin d’apprendre. J’ai à peine rayé la surface.
Mais c’est beaucoup plus de raisons de revenir.
Je ne peux pas croire que j’ai raté cet emplacement pendant si longtemps.
Ce que je me trompe!
Je ne ferai pas exactement la même erreur deux fois.
1- Si vous voulez aller au speakeasy, vous avez besoin de faire une réservation. Texte +52 999 658 1678 pour le mot de passe de cette soirée. Le jeudi, ils ont du jazz.
2 – Parlons covide. Le Mexique est ouvert au tourisme. Il n’a besoin de aucun type de test ou de mise en quarantaine. (J’ai passé un test de PCR avant de partir car c’est juste la meilleure chose à faire.) Ainsi que c’est pourquoi de nombreuses personnes y vont faire la fête. Je veux dire, Tulum était fou, et j’étais ravi de sortir de là. Les masques ainsi que les limitations ont été appliqués dans le Yucatán ainsi que sur Oaxaca, mais pas tant dans Quintana Roo (où Tulum, Playa del Carmen, ainsi que Cancún).
Mais, franchement, je ne recommanderais pas d’aller au Mexique au mieux maintenant. Les situations ont beaucoup augmenté parce que je suis allé tout d’abord aussi bien que même des endroits autrefois sécurisés comme Oaxaca ne sont plus si sans risque. Je comprends que cela me semble hypocrite parce que jeÉtait juste là – mais les choses étaient différentes en novembre et, si je devais prendre exactement la même décision maintenant, je ne le ferais pas. Le Mexique peut attendre.
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